Denis Van Weynbergh est venu rencontrer nos élèves ce 25 avril
A la veille du congé de printemps, le skipper belge Denis Van Weynbergh est venu à la rencontre de nos élèves à l’Auditorium Jacques Brel sur le Campus du CERIA ce vendredi 25 avril pour un retour d’expérience. Il avait proposé de rencontrer nos élèves après sa traversée afin de les remercier de leur soutien pour son projet et répondre à leurs questions.
Pour rappel, le skipper belge avait pris le départ du Vendée Globe le 10 novembre 2024. Il n’est pas le premier Belge à s’être présenté sur la ligne de départ de ce tour du monde à la voile en solitaire sans escales et sans assistance mais il est bien premier de nos compatriotes à avoir bouclé l’épreuve !
Un partenariat avait été conclu entre le skipper et deux de nos écoles : l’institut Emile Gryzon et l’institut Roger Lambion dont les élèves avaient produit une partie des vivres (barres de céréales, chocolat, brioches, massepain, charcuterie sous vide…) emportés par Denis Van Weynbergh lors de son périple.
Le 8 mars 2025, après 117 jours en mer, le navigateur a posé le pied sur la terre ferme, réalisant ainsi son incroyable pari. Faisant preuve d’une résilience extraordinaire malgré les problèmes rencontrés au cours de sa traversée : dysfonctionnements de sa girouette, complications électroniques et des problèmes de grand-voile, notre compatriote a tenu bon jusqu’au bout !
C’est avec beaucoup d’enthousiasme et de punch que Denis Van Weynbergh s’est présenté au CERIA ce vendredi devant nos élèves pour partager son aventure. Il leur a raconté son expérience et a répondu à toutes leurs questions avec beaucoup de bienveillance, de sincérité et d’humour. Il a terminé la session en expliquant aux jeunes qu’avec de la passion et de la persévérance, on pouvait repousser ses limites. Le navigateur a passé six années à préparer son projet qui lui a demandé des sacrifices inévitables pour pouvoir aboutir. Durant son périple, il a traversé des moments de peurs et de doutes, ce n’était pas toujours facile mais cela en valait la peine.
Merci à Denis Van Weynbergh pour son passionnant récit et « bon vent » à lui pour ses futurs projets.





